Agée et futée !

Ce n’est pas à un vieux singe qu’on apprend à faire des grimaces

Une dame âgée se fait arrêter par la police.
— « Y a-t-il un problème, Monsieur l’agent ? »
— « Oui, madame. J’ai bien peur que vous rouliez à une vitesse excessive. »
— « Ah, je vois. »
— « Est-ce que je peux voir votre permis de conduire, svp ? »
— « Je vous le donnerais bien, mais j’en ai pas. »
— « Vous n’en avez pas ? »
— « Non. On me l’a retiré il y a 4 ans pour conduite en état d’ivresse. »
— « Je vois… Est-ce que je peux voir la carte grise du véhicule ? »
— « Je n’en ai pas non plus. »
— « Pourquoi ? »
— « J’ai volé cette voiture. »
— « Vous l’avez volée ? »
— « Oui et j’ai tué le propriétaire. »
— "Vous avez fait quoi ! ?
— « Les parties du corps sont dans des sachets en plastique dans la valise qui se trouve dans le coffre, si vous voulez les voir. »

L’agent regarde la femme et recule lentement dans sa voiture pour appeler du renfort. Quelques minutes après, 5 voitures de police entourent la voiture de la vieille dame. Un officier s’approche lentement, tenant un pistolet. Il dit à la vieille dame :
— « Madame, veuillez sortir lentement votre véhicule, les mains en l’air ! »

La vieille dame s’exécute. Elle s’adresse à l’officier qui la tient en respect :
— « Y a-t-il un problème, Monsieur l’officier ? »
— « Mon collègue m’a dit que vous avez volé cette voiture et assassiné son propriétaire. »
— « Assassiné le propriétaire ? Êtes-vous sérieux ? »
— « Oui, pourriez-vous s’il vous plaît ouvrir la valise dans le coffre de votre voiture ? »

La vieille dame ouvre la valise qui ne contient rien de plus qu’une plus petite valise vide. L’officier de police reprend :
— « Est-ce votre voiture, madame ? »
— « Oui, voici la carte grise et l’attestation d’assurance à mon nom. »

L’agent qui l’a arrêtée est tout à fait surpris. L’officier le regarde courroucé, puis se tourne à nouveau vers la vieille dame :
— « Mon collègue m’a dit aussi que vous n’avez pas de permis de conduire. »

La vieille dame fouille dans son sac à main, en tire son permis et le montre à l’officier. Celui-ci l’examine attentivement, puis le lui rend, tout penaud.
— « Merci madame. Je suis vraiment confus. Mon collègue m’avait dit que vous n’aviez pas de permis, que vous aviez volé cette voiture et que vous aviez assassiné le propriétaire ! »
— « Je parie que ce menteur vous a aussi dit que j’allais trop vite… »

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